Son église paroissiale, signe architectural de la mémoire d'une vie chrétienne...

Son église paroissiale, signe architectural de la mémoire d'une vie chrétienne, se dresse sur une hauteur tel un point de repère et de rencontre.

- Une trace en 1590: elle a déjà pour vocable Saint-Georges. Bâtie en grés du pays. Devenue vétuste au fil du temps.

- Un nouvel édifice religieux bâti grâce aux efforts du curé Dupont et aux dons de gouysiens: l'un des plus beaux de la région. Béni le 24 novembre 1850. Détruit pendant la première Guerre Mondiale.

- L'église actuelle, construite à partir du 11 mai 1923 sous la cure d'Adil Lahousse. Rendue au culte le 26 avril 1925. Elle abrite des fonts baptismaux datés de 1541, classée "monument historique" par arrêté du 18 mai 1908, un bénitier en pierre surmonté d'une coupole en cuivre, un autel en bois avec les statues des évangélistes et une magnifique fresque murale de Saint Georges.

Son Saint Patron, Georges, fêté le 23 avril, protecteur, défenseur et palladium de son territoire, faisait l'objet d'un pélerinage suivi. On s'y adressait pour obtenir toutes grâces tant agraires et pastorales que médicales, morales et sociales.

Son calvaire érigé avant 1848, plusieurs fois abattu par la tempête et reconstruit grâce à l'opiniâtreté de curés et à la souscription volontaire de paroissiens.